Patrice est tombé amoureux de Mathilde, une jeune femme qui vient
d'arriver en Soule. Lui est tout sauf un Don Juan, mais il a plus d'un tour
dans son sac, malgré les apparences... Il va contourner ses défauts
rédhibitoires grâce à Internet. Mais il va vite apprendre que tout se paie, en
ce bas-monde. Rencontré dans un monde virtuel en trois dimensions, Beau Smart,
un génie digital exauceur de vœux, va se charger de le lui rappeler, en
l'entraînant dans une spirale cauchemardesque sans fin...
L'infection 1 Contage
Auteur : Étienne H. Boyer
Édition : Astobelarra Le Grand Chardon
Dépôt légal : mai 2012
I.S.B.N. 979-10-90126-01-5
Il y avait longtemps que je n'avais pas relu ce roman. Depuis sa
sortie en fait, il y a plus de 5 ans donc. Le tome 2 est sorti et je l'attends
avec impatience, pensant que mon rythme de lecture (des plus lents disons-le,
s'il n'y a pas d'image, je suis pas rapide) comblerait cette attente du jour où
je le recevrai enfin. Mais non, une nouvelle fois, j'ai été pris, et je l'ai lu
à vitesse grand V (il m'a fallu presque une semaine quand même, pour un peu
moins de 400 pages poche). Du coup, je suis comme un couillon à devoir attendre
tout pareil, mais j'attaquerai le deuxième sans avoir rien oublié du premier du
coup, ce qui est bien.
Ce premier tome est une bonne introduction, les décors
Souletins et numériques sont posés, à la fin, la trame s'étend pas mal, mais la
grande majorité du livre se passe dans mon pays basque (presque) natal. C'est
bien écrit, le rythme est très bon, les personnages sont assez accrocheurs mais
si très classique. Étienne décrit sa trilogie comme une trilogie de gare, une
description modeste et pourtant parfaitement exacte. C'est un roman de gare, un
roman très prenant, mais qui ne révolutionne en rien le genre. C'est un
divertissement très efficace, j'aime beaucoup et je conseille!
Étienne est mon copain, du coup, il me fait des dédicaces
sur ses livres avant de me les vendre, et c'est cool, parce qu'en plus d'écrire
très bien, bah il se débrouille pas mal en gribouillage aussi (ils sont
pénibles ces artistes). Merci beaucoup Étienne, tu sais que je suis impatient
de lire la suite, et tu sais que je vais l'adorer, alors merci de ne pas
t'arrêter et de continuer à écrire comme tu le fais (mais accélère quand même,
5 ans... sans déconner...)
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