jeudi 17 octobre 2013

Irrécupérable 7

Après avoir capturé le plus puissant de tous les super-héros devenu le plus terrifiant des méchants, les hommes au pouvoir ont pris une terrible décision. Ils ont annihilé une grande partie du monde dans l’espoir d’éradiquer le Plutonien. Le Paradigme se retrouve, quant à lui, très affaibli après le mort du mégalo Survivor, mais leur situation s’aggrave encore lorsqu’ils réalisent qu’un de leurs plus vieux ennemis s’est infiltré dans leurs rangs... Pendant ce temps-là, le Plutonien est confronté à ses origines, puisqu’il rencontre enfin ses parents biologiques. Le monde est au bord d’une catastrophe nucléaire. Qui pourra sauver la race humaine? Un septième – et dernier – tome où combats et révélations s’entremêlent.

Irrécupérable 7 Épilogue
Scénario de Mark Waid
Dessin de Diego Barreto, Damian Couceiro et Emma Rios
Couleurs de Nolan Woodard et Alfred Rockfeller
Traduction d’Alex «Nikolavitch» Racunica
Édité chez Delcourt
en août 2013
I.S.B.N. 978-2-7560-3765-3



Et voilà la fin d’une série. Une fin comme je les aime, qui donne naissance à un mythe que je détesterai mais peu importe, c’est vraiment bon, bien fichu, ça passe par plein d’endroits inutiles pour arriver à un endroit tellement évident, j’aime énormément. C’est vraiment excellent.

Saules aveugles, femme endormie

Conteur hors pair, Haruki Murakami explore dans ces vingt-trois nouvelles délicatement ciselées, une multitude de mondes oscillant perpétuellement entre le réel et le rêve. Parmi ces vies suspendues, de troublants portraits : un homme d’affaire hanté par son premier amour, un couple adultérin réfugié sur une île grecque, un homme obsédé par les spaghettis, ou encore un gardien de nuit poursuivi par son reflet... Qu’ils guettent un présage ou un miroir, la mort ou un kangourou, tous sont empreints d’une mélancolie poétique qui fascine et résonne en chacun de nous.

Saules aveugles, femme endormie
De Haruki Murakami
Traduction d’Hélène Morita
Édité chez 10/18
en février 2010
I.S.B.N. 978-2-264-04474-7



Il s’agit là d’un recueil de nouvelles. Mon épouse m’avait dit qu’une sur deux était très bonne, l’autre franchement moins bonne à tendance mauvaise. Une fois n’est pas coutume, je ne suis pas d’accord. Je les ai toutes trouvées superbes. En particulier trois, Un récit folklorique de notre temps : la préhistoire du capitalisme à son stade ultime, Le couteau de chasse et La pierre-en-forme-de-rein qui se déplace chaque jour. Ces trois là m’ont réellement transporté. Cet auteur est vraiment un grand auteur, j’aime énormément son travail et le conseil à toute personne de goût.