lundi 5 mars 2012

Sambre 6

Skyvore Island, mai 1857... Au cœur de la tempête, La Désirée fend les flots au large de l’Irlande. À son bord, des bagnardes enchaînées qui, en échange d’une remise de peine, ont accepté de s’exiler à Cayenne. Parmi elles le matricule 3492, alias Julie Saintange, s’abandonne à la mélancolie. Le souvenir de Bernard Sambre se dispute à celui de Bernard-Marie, leur enfant commun. Le premier est mort, le second lui a été volé...

Sambre 6 La mer vue du Purgatoire...
D’Yslaire
Édité chez Glénat
en juin 2011
I.S.B.N. 978-2-7234-4429-3


La fureur ne se fait presque pas ressentir, dans ce volume, c’est plus une profonde mélancolie, une espèce de désolation très lourde. C’est beau. C’est tellement beau. Les dessins sont sombres, à l’image de l’ambiance et des humeurs. Encore une fois très bien fait. Je pense que je vais étendre aux autres branches de la série, en espérant que ce soit aussi bon.

Sambre 5

Brest 1857. Julie a survécu. Condamnée à vie pour crimes et activités révolutionnaires, le bagne de Brest est désormais son univers, avant celui de Cayenne... Pendant ce temps, Bernard-Marie Sambre est élevé à la Bastide dans le culte de son père, de ses ancêtres, et le déni de sa mère. Car sa tante Sarah l’a décidé : La troisième génération de Sambre ne peut être la dernière...

Sambre 5 Maudit soit le fruit de ses entrailles...
D’Yslaire
Édité chez Glénat
en septembre 2003
I.S.B.N. 2-7234-3548-2


Une légère accalmie dans la Guerre des Yeux. Une sorte de replacement de l’histoire avec un nouveau personnage, encore enfant qui permet de rajouter un peu de léger à cette chronique de la famille Sambre. Sans pour autant la dédramatiser, point trop n’en faut. Je pense que cette génération sera plus faite de frustration, ou peut-être d’une colère plus violente, en tout cas, ça ne laisse présager rien de bon, et qu’est-ce que c’est efficace.

Sambre 4

Paris, 23 février 1848. Au matin, la révolution semble ratée. Mais la tragédie ne fait que commencer. Il y a un proverbe arabe qui dit «ce n’est pas la balle qui tue mais la destinée...» Et celle que Bernard et Julie se sont juré de vivre, c’est de mourir ensemble... Histoire d’un amour fou et d’une révolution trop jeune qui finit dans le sang.

Sambre 4 Faut-il que nous mourions ensemble?
D’Yslaire
Édité chez Glénat
en avril 2003
I.S.B.N. 2-7234-4141-5


On s’enfonce toujours un peu plus dans le glauque et le désespoir et un mélange entre colère et rage de vaincre. En plus dans ce tome apparaissent la politique et ses meneurs d’hommes prêts à tout pour arriver à leur fin. Encore un excellent volume, toujours plus beau.

Dragon ball 3

Dragon ball 3 L’ultime combat
D’Akira Toriyama
Traduction de Kiyoko Chappe
Édité chez Glénat
en juillet 2001
I.S.B.N. 978-2-7234-3458-4


Ce tome commence par la fin du tournoi des arts martiaux, combat plein d’humour et de rebondissements, très bon. Nous assistons à la destruction de la lune et à l’introduction de l’armée du Ruban Rouge, la chasse aux Dragon Ball est de nouveau ouverte, Sangoku se fait plein de nouveaux amis sur la route tout ça tout ça. C’est toujours aussi bon, c’est reposant, j’aime toujours.

Dragon ball 2

Dragon ball 2 L’initiation
D’Akira Toriyama
Traduction de Kiyoko Chappe
Édité chez Glénat
en juillet 2004
I.S.B.N. 978-2-7234-3457-7


Dans ce tome, nous rencontrons Krilin, Lunch et il me semble bien que c’est tout... Je parle bien sûr des personnages récurrents. C’est dans ce tome que l’on assiste à l’entraînement de Sangoku et Krilin par Tortue Géniale. Il s’agit là en fait de toute la première partie, la deuxième étant consacrée au premier (qui est en réalité le 21e) championnat d’arts martiaux. C’est toujours aussi bon, l’esprit de cette série est vraiment génial, surtout dans cette partie là qu’est l’enfance de Sangoku. J’aime bien entendu!!

Dragon ball 1

Dragon ball 1 Sangoku
D’Akira Toriyama
Traduction de Kiyoko Chappe
Édité chez Glénat
en mars 2001
I.S.B.N. 978-2-7234-3456-0


Nous assistons au grand commencement de cette saga culte. Dans ce premier tome, nous rencontrons donc Sangoku, Bulma, Oolong, Tortue Géniale, Yamcha et Plume, Chichi et Gyumon, Pilaf et même le dragon sacré. C’est très rigolo comme tome, on replonge dans une certaine naïveté, c’est chouette. Excellent début en tout cas.

100 bullets 13

The last cards have been dealt, and the final bets have been called. For the remaining houses of the Trust and their former warlord Agent Graves, it’s time to show their hands – and settle their accounts. For the remaining Minutemen, though, things aren’t that simple. Though all their chips are in the pot, there are still some wild cards left to be played – and they’re more than enough to turn the whole game around.

100 bullets 13 Wilt
Scénario de Brian Azzarello
Dessin d’Eduardo Risso
Couleurs de Patricia Mulvihill
Édité chez DC Comics
en avril 2009
I.S.B.N. 978-1-4012-2287-1


Voilà la fin de ce qui semble être la meilleure série jamais dessinée (après les Batman, je suis désolé mais bon). Et ce final. J’en ai les mains qui tremblent tellement c’est bon. On le voyait un peu venir, mais c’est tellement mieux que ce que j’imaginais, je me doutais de la fin, mais le chemin emprunté pète tellement la classe. On arrive malgré tout à être surpris. On sent la fin qui arrive, mais tous les personnages la jouent tellement comme à l’accoutumée, pour eux, c’est une journée comme une autre, nous, lecteurs, on sent bien que la série touche à sa fin, la tension monte beaucoup trop pour que ce ne soit qu’une charnière, mais les personnages restent nature... Raaaaaaah punaise, c’est tellement bon.

Monsieur Mardi-Gras Descendres 4

«Pourquoi quitter le purgatoire? Pourquoi écouter les élucubrations de ce type avec son moulin à café sur le crâne? On n’est pas bien ici? Sans chair, sans maladies, sans argent? De ce côté du miroir, même si les choses n’ont plus de goût, nous voici en paix avec nous-mêmes et les vacances ont le mérite d’être infinies!» Mardi-Gras Descendres devra convaincre tous les pénitents, à commencer par lui-même, d’affronter le retour à la chair. Et voici venir la fin de l’histoire...

Monsieur Mardi-Gras Descendres 4 Le vaccin de la résurrection
D’Éric Liberge
Édité chez Dupuis
en septembre 2005
I.S.B.N. 2-8001-3716-9


Grande claque. Le truc énorme avec cette série, c’est qu’à chaque lecture, j’ai l’impression que c’est la première, comme si le fait d’interpréter différemment à chaque fois donne une autre vie à ces albums. Ça ou alors c’est parce que c’est trop balèze pour que l’on puisse en garder un quelconque souvenir. Je ne saurais trop que dire. J’ai eu la bonne idée de commencer la lecture de ce tome hier soir. Ça a entraîné une nuit de rêves pas vraiment reposants. Et je l’ai finie ce matin, au réveil. Et me voilà donc pris de réflexions... lointaines? Enfin. C’est vraiment une série grandiose, la fin est super lourde de tristesse, je trouve, mais c’est tellement beau. À lire, absolument!!!

Bon, je vais pas recommencer encore l’histoire de cette dédicace, et puis je suis fatigué, alors cherchez vous-même le ou la première qui trouve gagne un dessin... Peut-être...

Fulù

Le combat pour la liberté d’une esclave envoûtante. Esclave des hommes, Fulù est une femme qui construit sa vie comme un hymne à la liberté. Prisonnière au Brésil, elle veut rejoindre l’Afrique à tout prix. Pour cela, elle va pouvoir utiliser deux atouts de choc : son magnifique corps noir surmonté d’une chevelure blonde, et ses pouvoirs vaudous... Gare à ceux qui entraveront son chemin! Ils seront inexorablement ensorcelés...

Fulù
Scénario de Carlos Trillo
Dessin d’Eduardo Risso
Traduction et édition chez Glénat
en mai 2011
I.S.B.N. 978-2-7234-8292-9


Voilà le genre d’album que l’on achète parce qu’on voit les noms des auteurs. J’en avais jamais entendu parler de cette série, mais je vois Trillo et Risso sur la couverture, je vois que c’est une intégrale, alors je me dis «ça doit forcément être bon»... Et ben voilà, je suis carrément pas déçu. C’est une sorte d’épopée d’une esclave noire avec des pouvoirs vaudous. Et c’est super bien raconté, très bien dessiné. L’ambiance est très bien faite, le monde bien représenté, les gens aussi. C’est vraiment excellent, j’aime beaucoup. Énormément même.

Pat the zombie

Meet trusting toddlers Paul and Judy. They play peek-a-boo with a shroud, inhale the scent of decomposition as they search discarded remains, check in the mirror for signs of infection, reach for Daddy’s putrefying face, and, of course, gut the zombie! Unpleasant features and nasty activities add lively revulsion to each reading of Pat the Zombie. Revel in queasiness as the undead come lurchingly back to life.

Pat the zombie
D’Aaron Ximm
Illustrations de Kaveh Soofi
Édité chez Ten Speed Press
en avril 2011
I.S.B.N. 978-1-60774-036-0


Un petit livre que ma maman m’a ramené du Canada, c’est en Anglais, mais très facile à la compréhension, et c’est un truc très mauvais goût, mauvais esprit, ça sent mauvais, c’est violent, c’est cradingue. Je raffole de ce petit bouquin. Merci beaucoup!!

100 bullets 12

The final battle between the surviving houses of the Trust and their onetime enforcer Agent Graves has been joined, and casualties on both sides promise to be high. In this war, however, the line between soldier and civilian has all but vanished, and no one is giving much thought to collateral damage. But  just as no plan of attack ever survives its first contact with the enemy, history shows that unexpected factors are often the most decisive – and that both sides are equally vulnerable.

100 bullets 12 Dirty
Scénario de Brian Azzarello
Dessin d’Eduardo Risso
Couleurs de Patricia Mulvihill
Édité chez DC Comics
en juin 2008
I.S.B.N. 978-1-4012-1939-0


Le rythme s’accélère, un sacré ménage est lancé, beaucoup de personnages sont effacés du tableau, pas toujours de très jolie manière qui plus est. Plus d’énigme là, juste une tuerie qui ne prendra fin quand il ne restera plus de porte-flingue. Il ne reste plus qu’un tome avant le dénouement final. Je pense que je vais m’atteler de ce pas à sa lecture parce que punaise, le suspens a assez duré!!!! Et je veux la fin, enfin, depuis tant d’années que je lis cette série, elle est à portée de main, c’est un grand moment!!

Debaser 6

Debaser 6
De Raf
Édité chez Ankama Éditions
en juillet 2011
I.S.B.N. 978-2-35910-181-2


Cette série est excellente, comme je le répète à chaque billet. Et j’ai la joie de vous annoncer que ce tome ne fait pas exception. Ou alors si , mais parce que l’histoire avance à grands pas, le rythme passe la vitesse supérieure, et le dessin a pris un boost assez impressionnant. Oui, à peu de chose près tout a subi une évolution très positive, et il me tarde vraiment la suite.