mercredi 29 février 2012

100 bullets 5

He’s got a case, but not a face. Private dick Milo Garret is used to picking fights and winning them. Even so, he lost his last big argument – the one with his windshield. After the docs made a new quilt out of his mug, a certain Agent Graves brought him a little pick-me-up : 100 untraceable bullets and a matching gun, along with a compelling tale of premeditated auto sabotage. It was a tidy package – a little too tidy for Milo. His nose may be busted, but he can still smell a rat. And the more he sniffs around, the worse things are beginning to stink. But as good as a detective as he is, Milo can’t imagine how big the sewer he’s about to walk into is – or how far he has to fall.

100 bullets 5 The counterfifth detective
Scénario de Brian Azzarello
Dessin d’Eduardo Risso
Couleurs de Patricia Mulvihill
Édité chez DC Comics
en janvier 2004
I.S.B.N. 1-56389-948-5


C’est rigolo parce que ce tome suit les aventures d’un détective. Et j’étais pile dans le bon mood pour lire cette histoire. Un peu jazz blues, cette humeur qui donne l’impression qu’on est dans un bar clos, enfumé, avec un groupe de vieux mecs aigris qui jouent des airs lancinants et tristes. Sirotant un whisky en fumant une cigarette mal roulée et en repensant à des moments plus ou moins heureux, à des gens plus ou moins importants. En fait, c’est tout ça que ça m’a apporté, alors qu’en fait, je suis pas certain que ce soit le but. Mais bon. (Ah, et même si elle ne lit pas ces billets, il me semble «important» que la ville de Condom, 32, est citée dans ce tome. Comme quoi, le Gers n’est pas tout à fait une région fantôme. Bonsoir à elle en tout cas.) C’est vraiment un tome excellent. Un des meilleurs de cette série ô combien géniale pour le moment.

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